Notre histoire
Poursuite du développement des formations au collège et au lycée avec l'ouverture du Dual Diploma.
Poursuite du développement des formations Bac+3 avec l'ouverture du Bachelor Responsable en Gestion Administrative et Ressources Humaines.

Rénovation du gymnase du collège.

Rénovation complète du stade sportif du collège.

Rénovation complète des façades du collège.

Obtention des chartes Erasmus sur tous les niveaux d'enseignement.

Création d'une Brasserie au Lycée Hôtelier Robin.

L'Institution Robin fête ses 150 ans et proclame un nouveau projet d'établissement.

Poursuite du développement des formations Bac+3 avec l'ouverture de la Licence Commerce Internationale avec le CNAM et le Bachelor "Thierry Marx" avec le Collège de Paris.
Agrandissement immobilier du Lycée Général pour accompagner l'ouverture de classes et l'augmentation des effectifs.

Création du partenariat avec le CNAM permettant d'ouvrir la Licence Économie Commerce Vente Marketing.
Création du Lycée Polyvalent Robin qui fusionne le Lycée Professionnel Robin Saint-Vincent-de-Paul et le Lycée Général Technologique Robin.

Début des formations supérieures en alternance.
Création de l'U.F.A Robin avec une formation en œnotourisme.

L'intégration de l'école Saint-Louis au Groupe Robin accompagnée d'une rénovation complète de l'école.

Signatures des premières ententes avec les Cegeps du Saguenay au Québec.

Création des foyers et agrandissement des espaces de restauration.
Rénovation des plateaux sportifs du collège.
Début de l'informatisation massive de l'Institution.

Fin des travaux de rénovation de l'école Robin.

Arrivée de J.Torresan

Départ à la retraite de Louis Lacome après 29 ans au poste de Directeur Général.
Sur son initiative et pour la première fois, un colloque regroupe à Sainte-Colombe toutes les écoles partenaires de Robin à travers le monde et un lieu de mémoire est inauguré le 2 octobre 2017.
Jérémy Torresan succède à Louis Lacome au poste de Directeur Général de l'Institution Robin.
Celle-ci compte 2 800 élèves de la première année de maternelle à l'enseignement supérieur, 200 professeurs et 80 salariés.

Entrée de l'Institution dans le dispositif Européen Erasmus +, une démarche qui permet de proposer des projets de mobilité à destination des élèves et des professeurs.
L'Institution compte onze écoles partenaires dans le monde, et ce dans huit pays et sur quatre continents.

Les étudiants du Lycée Hôtelier participent à l'exposition Universelle à Shanghai en Chine.
L'Institution Robin est le seul établissement français de formation hôtelière à envoyer des élèves sur l'exposition Universelle, deuxième événement planétaire après les Jeux Olympiques.

Premier échange avec la Norvège. Un groupe se rend au Knarvik Vidareegande Skule à Bergen pour 15 jours.

Une convention de partenariat est signée avec la Bishop Allen Academy de Toronto au Canada.

Le conseil d'administration de Robin décide de développer l'ouverture à l'international.
Le 18 février 2008, une première convention est signée entre Robin et le Lycée Datong de Shanghai en Chine.
Les liens s'intensifient avec les Lycées de Udine en Italie.
Le Lycée Professionnel Saint-Vincent-de-Paul quitte le centre-ville de Vienne pour Sainte-Colombe.
Ce site compte désormais plus de 2 000 élèves, sur un total de 2 600 élèves pour l'ensemble de l'Institution.

Le site de Sainte-Colombe est complétement restructuré par la réhabilitation du bâtiment "Sainte-Marie" qui accueille le Collège et par la construction du bâtiment "Les Allobroges".
Celui-ci accueille principalement les services de restauration et les classes du Lycée Professionnel Saint-Vincent-de-Paul.
Par décision de la tutelle diocésaine, le Lycée Saint-Vincent-de-Paul et l'Institution Robin sont regroupés pour former un ensemble scolaire dont la direction est confiée à Louis Lacome, directeur de Robin depuis 1988.

Fermeture de l'internat après 128 ans d'existence.
Ouverture du nouveau bâtiment du Lycée à Sainte-Colombe.
La construction du musée archéologique de Saint-Romain-en-Gal entraîne l'expropriation des bâtiments proches de la piscine et la restructuration du terrain de sport.
Dans la foulée, le nouveau Lycée d'Enseignement Général et Technologique voit le jour. Il comprend deux bâtiments reliés par une passerelle, le "Copernic" et le "Colisée".

Au 1, cours Brillier à Vienne, à côté du bâtiment d'origine (1880) de l'Institution, un édifice est construit pour recevoir les étudiants en B.T.S et les filières post-bac.

L'association immobilière de Louise de Marillac (association de gestion de Saint-Vincent-de-Paul qui va ensuite fusionner avec Robin) achète le château Galland à Vienne pour en faire le Lycée Hôtelier de Bellerive.
En 2004, la construction d'un nouveau bâtiment à l'arrière du château permet de regrouper les élèves de toutes les sections de la formation hôtellerie (du C.A.P au B.T.S).
Entre 1989 et 1990 le nombre d'élèves passe de 1 500 à 1 700.

Inauguration des laboratoires scientifiques dans le nouveau bâtiment des Cordeliers situé face au bâtiment Sainte-Marie.

Création des classes de B.T.S Gestion, Comptabilité et Information de Gestion, suivie en 1985 de BTS Action Commerciale.
Le sport tient toujours une place importante au sein de l'Institution Robin, 18 titres de champion d'athlétisme sont remportés par des élèves.

Une première convention de partenariat est signée entre l'Institution Robin et un établissement scolaire étranger : Le Schelztor Gymnasium d'Esslingen en Allemagne.
Les villes de Vienne et d'Esslingen sont jumelées depuis 1958.
L'Institution compte 1 000 élèves et Michel Andrieux est nommé directeur de Robin. Il va rester treize ans, jusqu'en 1988.
Durant cette période, il créé les filières post-bac.

Après le départ du Père Carret, Supérieur de l'Institution, la direction de Robin est confiée à un laïc : Marc Hartemann.

Construction du gymnase et achat des bâtiments appelés les "Navettes", face au bâtiment Sainte-Marie.
L'année suivante, le 11 mai 1972, l'Institution célèbre son centenaire. Au programme de cette journée du centenaire sont proposés une messe communautaire, un repas et un après-midi de fête avec un spectacle exhibition de l'équipe de l'escadron motocycliste de la Garde Républicaine de Paris.

Achat du bâtiment Sainte-Marie, ancienne usine Seguin, aujourd'hui Collège de l'Institution.
Ce bâtiment a été construit par la communauté des Vistandines. Terminé en 1789, il est confisqué comme "Biens Nationaux" et servira à diverses activités industrielles en particulier comme atelier de fabrication textile.
À compter de ces années-là, les effectifs de Robin vont s'accroître de manière conséquente.
En 1961, Robin compte alors 595 élèves puis 610 élèves en 1964 et 800 en 1968. Face à la montée des effectifs, cinq classes sont construites contre le stade nautique. En mai 68, comme partout en France, c'est la "révolution". L'institution ne ferme pas, mais les cours sont irrégulièrement assurés en raison des problèmes de transport.
Le 24 décembre 1959, l'Assemblée nationale vote la loi Debré.
Cette loi offre aux écoles libres le choix entre un contrat d'association avec l'État (prise en charge des dépenses de l'établissement) ou un contrat simple.
Cette loi établit une paix scolaire telle que la France n'en a pas connu depuis près d'un siècle.
Les enseignants sont désormais rémunérés par l'État et l'Institution Robin va connaître un nouveau développement.
Progressivement, les enseignants laïcs vont remplacer les prêtres enseignants.

Michèle Broduriès est la première femme enseignante dans le secondaire à l'Institution Robin, elle a 19 ans et exerce en classe de quatrième.

Le père Gros, supérieur de l'Institution Robin, se révèle être un formidable visionnaire.
Sur l'autre rive du fleuve Rhône, à Sainte-Colombe, il achète le "Clos Michoud", un domaine de trois hectares pour développer le groupe scolaire, désormais trop à l'étroit dans ses locaux viennois. Dans ce "Clos Michoud" se trouve notamment le cloître des Cordeliers datant de 1690.
Durant les années 1950 et 1960, sous l'impulsion du père Gros, le sport à l'Institution va connaître un formidable essor.
En 1955, l'équipe benjamin de football remporte la coupe Gachet à Chasse-sur-Rhône. En 1957, toujours en football, les cadets et minimes sont champions du Rhône et les juniors champions du Rhône de basket.
La mixité est instaurée dans les classes maternelles et primaires.
Pour le premier brevet du premier cycle, huit élèves sur dix sont reçus.

À l'initiative du Père Gros, directeur de l'époque, des camps d'été sont mis en place dès 1946 dans l'Oisans, le Jura, les Hautes-Alpes et le golfe du Morbihan mais aussi en Italie et en Autriche. Des séjours qui, par la suite, vont prendre des formes plus sportives comme les randonnées en montagne ou à vélo.
À partir des années 1960, des séjours d'hiver sont organisés par le Père Carret, directeur, au chalet de Saint-Pierre-de-Chartreuse. Des voyages en Grèce et en Italie sont également prévus l'été avec un bus qu'il conduit lui-même, et qui va l'être par la suite par Gilbert Chazot, conseiller principal d'éducation.
Pendant plus de 40 ans, Jean-Pierre Ponsot, professeur de gymnastique et sa famille vont également organiser des stages de ski au chalet de Valloire pour des générations de Viennois.
À partir des années 1980, la vie de l'établissement est rythmée par le traditionnel carnaval du Mardi Gras et par la musique avec Terpsichore, un ensemble instrumental et vocal créé par Bernard Labouyrie, professeur de musique. Cette formation va compter jusqu'à 80 élèves et multiplier les concerts dans toute la France durant près de 15 ans.
Durant toutes ces années, la vie extra-scolaire va également être rythmée par l'atelier théâtre du collège, les compétitions sportives, les classes vertes, les voyages scolaires et les échanges internationaux de plus en plus nombreux à partir des années 2000.

Le Père Cattin, Supérieur de l'Institution, dirige l'Institution Robin durant la Seconde Guerre Mondiale.
À l'initiative de celui-ci, l'Institution cache des juifs. Les risques sont importants, surtout en mai 1944 car l'armée allemande réquisitionne une partie des bâtiments. Le 25 mai 1944, Klaus Barbie et la Gestapo lyonnaise investissent Vienne.
À l'Institution Robin, trois personnes sont arrêtées, dont Louis Sève. Ce séminariste enseignant, réfractaire au Service du Travail Obligatoire (STO), est venu se réfugier à l'Institution.
Le 18 juin 1944, à Bonnefamille près de Bourgoin-Jallieu, les Allemands exécutent d'une balle dans la tête vingt personnes, parmi lesquels se trouve Louis Sève. Treize élèves et professeurs de l'Institution Robin vont trouver la mort lors de ce conflit.
Durant ces années de guerre, l'école continue à fonctionner avec un effectif d'environ 120 élèves. La Chambre de Commerce de Vienne et le presbytère de Saint-Maurice prêtaient des salles pour les cours et des particuliers des chambres pour les élèves internes.

L'école fête ses cinquante ans.
Au début des années 1920, elle compte 13 prêtres enseignants pour 130 élèves.
En 1935, l'école regroupe 180 élèves dont 67 pensionnaires pour lesquels des baignoires et des douches ont été installées dans les sous-sols. Pour ces derniers, le lever est à 5h45 et le coucher à 19h.

En 1915, au cours de la Première Guerre Mondiale, les locaux de l'Institution Robin sont transformés en hôpital militaire provisoire.
Initialement ouvert comme simple dépôt de convalescents, il devient rapidement un hôpital militaire spécialisé en physiothérapie et en mécanothérapie.
Cet hôpital est conçu par le docteur Goujon, médecin chef des services sanitaires du secteur de Vienne.
Pour réaliser la transformation du dépôt de convalescents en hôpital, le docteur Goujon fait appel à la solidarité de la population et au comité viennois d'assistance aux blessés militaires.
Durant ces années de guerre, l'Institution Robin paie un lourd tribut : 47 élèves et professeurs trouvent la mort sur les champs de bataille.

Création de l'Association Fraternelle des Anciens élèves (A.F.A.E).
Pour la première fois, des élèves de l'Institution Robin sont inscrits au baccalauréat.
Quatre sur quatre sont reçu, dont un avec mention.
En présence de Monseigneur Fava, évêque de Grenoble, Michel Pra, curé de Saint-Maurice et successeur de Jacques Robin, pose la première pierre d'un nouveau bâtiment.
Situé cours Brillier à Vienne, il est destiné à accueillir l'école Saint-Maurice.
En mémoire de son fondateur, l'école devient l'Institution Robin.
Décès de Jacques Robin.
Il est enterré dans son village natal à Solaize au nord de Vienne.

Jacques Robin, curé de la paroisse Sain-Maurice à Vienne, créé une école dans les locaux du presbytère.
Cette école fonctionne avec deux professeurs et compte trois élèves à son ouverture, puis 17 en fin d'année scolaire.
Quatre ans plus tard, il y a six professeurs pour 55 élèves.